L’animal
humain fait œuvre de civilisation quand prime sur l’irrationnel la
recherche de l’éthique.
À
l’attention de I..a
El-B......m
– qui se déclare musulmane -
Le
récit scientifique n’est ni une opinion ni une croyance.
Le
plaisir
intense est indissociable de la volonté de connaissance, aussi
à vous
et afin que
nul n’en n’ignore, j’ai choisi de vous répondre quand vous me
dites, je
vous cite : "
votre
science est un récit
comme un autre ".
Depuis
environ
une
quarantaine
d’années
les assauts théocratiques
contre la laïcité ou
la loi
commune
de la république sont
des faits de société dû,
sinon
soutenus par les chantres
du multiculturalisme s’entendant
par tous les moyens à faire passer les scientifiques pour des
imposteurs.
Mis
en avant par le croyant fanatique ou fanatisé quand
ce n’est pas un philosophe de pouvoir donc
jacobin ou robespierriste
ou encore un intellectuel non-libertaire
mais
platonicien,
c’est
le principe d’une
modalité
de « pensée », laquelle
consiste
à faire
accroire cette idée que tout est relatif afin de justifier toutes
les formes de relativismes dont,
par voie de conséquence,
le multiculturalisme religieux
et
ses conséquences sociétales
comme
étant autant de récits équivalent aux récits
des
découvertes
scientifiques - que l’on peut résumer
par "
votre
science officielle est un récit parmi d’autres ".
Le
goût du vrai est un réel-vrai plaisir.
Hors,
la
science montre
plutôt facilement que les religions
ne sont rien de plus que des fables ou
des fake news très
répandus dans les
temps les
plus anciens.
Déconstruire
cet argument "
votre
science officielle est un récit parmi d’autres "
est d’autant plus facile qu’il suffit de rappeler que quelque
soit le référentiel la vitesse de la lumière ne change pas
et, non
sans
rappeler qu’Einstein
dans sa grande clairvoyance
s’était
opposé à ce
qui en soi est un énorme contresens l’enfermement
de
ses grandes
découvertes
sous le label
de "
théorie de la
relativité
";
puisque
quitte à insister
pour rappeler que,
quelque soit le référentiel,
la vitesse de la lumière ne change pas –
ce
sont
donc
des
vérités
absolues
et non-relatives.
Cette
appellation incontrôlée de
" théorie de la
relativité
" à
fait des ravages en servant de caution au relativisme scientifique ou
bien permis
à des philosophes de
pouvoirs
ou religieux tous plus imposteurs, escrocs
ou
charlatans les
uns que les autres - promoteurs
ou encore
grands
défendeurs de fake
news*1
«
devant
l’éternel »
minés,
obsédés par la tentation de
faire passer tout énoncé
scientifique
pour
relatif,
alors que la théorie d’Einstein ne montre que des
constantes.
*1
– religions.
Morale
:
Une
connaissance n’est pas l’équivalent
d’une
croyance, il
y a une différence statutaire étant donné que la
science n’est pas une
construction sociale - donc la science n’est pas un
récit parmi d’autres.
Les
scientifiques ainsi
que tout un chacun ont
un inconscient, lequel peut les tromper, mais la conscience fini
toujours par corriger les errances de l’inconscient - même
si, parfois,
ça
peut prendre du temps
puisque
les connaissances scientifiques s’émancipent toujours,
au
bout d’un certains temps, cependant
assez vite,
du contexte de leur apparition.
La
passion
de l’art ( des
arts
)
reflet
de la confession
de nos affects, laquelle
rend
vivace le
goût de la
recherche de vérités scientifiques – sous
réserve
que
«
madame
ou monsieur
tout
le
monde
»
ait
la volonté de
ne
pas se contenter de lire les titres
ou les annonces
puisque
privés de toute
possibilité de
comprendre,
à
la longue, ils
n’y
trouveraient
aucune
source
de plaisir.
Gagner
par l’indifférence, ne
plus entendre la voix de toutes les passions, de toutes les émotions,
c’est voir
s’effacer, disparaître
le plaisir que procure la recherche - c’est
faire
place
vacante
aux
idéologies
de
consolations vendues
par les
marchands
d’illusions avec
le retour à la clé des plus impitoyables barbaries -
Daech en est l’exemple
le
plus récent
-
CRAB
Suite
–
RUPTURE
Suite
2
–
Suite
3
–
Quand la science se conjugue avec la philosophie.
RépondreSupprimerCitation :
La philosophie est une affaire de désir de vérité, de besoin de vérité.
Nietzsche aura toujours à cœur d’interroger ce qui n’est pas interrogé par les philosophes dans leur démarche.
Il y a un soupçon fondamental qu’on appellerait aujourd’hui "l’impensé des philosophes".
C’est la démarche critique de Nietzsche.
Dorian Astor
Un savant qui élucide les lois du réel ou un philosophe qui réfléchit sur les principes de la lucidité et de la sagesse font aussi œuvre spirituelle ». Henri Pena-Ruiz
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