Pompéi
– fresque murale
«
Le but, atteignez-le en même temps ; c'est le comble de la volupté,
lorsque, vaincus tous deux, femme et homme demeurent étendus sans
force.
Voilà
la conduite à suivre, lorsque le loisir te laisse toute liberté, et
que la crainte ne te contraint pas à hâter le larcin d'amour.»
Ovide,
extrait de " L’art d’aimer "
Racine
du pire des sectarismes
Dans
toute l’histoire la
vie spirituelle de
l’humanité les
religions
du
monothéisme
n’ont
jamais
réussies
à conduire
une
seule population à
la paix
civile
ni
à faire la paix
avec
ses voisins.
Les
amours
Les
amours, c’est le sexuel dans une société où l’homosexualité
ou encore la bi-sexualité est considérée ni plus ni moins «
normale » que l’hétérosexualité.
Métamorphose
En
Occident
l’attraction
physique mutuelle se
métamorphose selon
un fantasme généré par la religion catholique
en « l’amour
» - puis
au fil du temps «
l’amour
» devient
une notion
dont
s’emparent
les hiérarchies des
deux
principaux monothéismes
(
catholique
et musulmane)
sans
pour
autant apporter
la paix ni dans les foyers ni dans
la
ville.
Dans
une
société
libertaire comme
la nôtre, l’amour
n’est
pas coercible
à
la monogamie étant
donné que
le polyamour est
un
mode de vie de
plus en
plus partagé,
lorsque
à l’aune
du
mariage règnent
en
maîtresses absolues
les
plus délicieuses
infidélités
;
les
amours sont donc insécables
de
la
règle d’une
sexualité sincère
la
plus proche
de
la nature, laquelle
nature, chacun
le sait,
déteste la monogamie autant
que le vide.
Noter
que dans la nature l’hyper-majorité
des
mammifères
n’est
pas
monogame
- 5 % sont
naturellement
monogames.
Le
polyamour, c’est la règle
de
vie régissant
la-les
sexualités de
bon nombre de
nos compatriotes, lesquels
par
ailleurs,
depuis longtemps, sont
largement
sécularisés, sans
compter que
la plupart d’entre-eux
se
sont parfaitement émancipés quand
ils ne sont pas consciencieusement
et
in
extenso devenus
imperméables aux
religions.
Sur
le fond, l’amour, c’est quoi au juste ?
L'amour,
c’est
une ruse de la nature pour
perpétuer l’espèce,
l'individu est sacrifié à l'espèce
;
Les
religions
du monothéisme se
servent de ce concept "
l’amour "
pour
sacraliser
la reproduction
de l’espèce et
la femme hors
la
vie publique
;
une
notion, laquelle ne fait pas seulement
frétiller
les
platoniciens ou
les
amoureux des bondieuseries en tous genres puisque
ce
corpus
fabriqué
de toutes pièces
pour
«
le plus grand bonheur de l’humanité
» va
droit au cœur de
nos
chers
économistes et de
nos chers politiciens
pros-économie
libérale, pros-croissance
démographique, pros-croissance économique, - enfin,
ces
« élites »
gangrenées
à
deux cents pour cent par
l’idéologie
productiviste
d’un
monde pourtant d’hier,
mais
toujours
à
l’aise
dans
un costume (
qu’ils sont les seuls à pouvoir se le
payer )
pro-républicains
jacobins,
pros-théocratie, pros-européens
sans nuance, pour le laisser aller de la mondialisation,
lesquels sont
objectivement
ennemis
des idéaux républicains d’essence
girondine,
ce
qui implique
que
tout
ce joli monde plein
aux as hors
TVA
se
contrefiche de savoir si
l’heure est à la décroissance démographique, et à la
décroissance économique
pourvu
que ce
soit toujours
les mêmes qui
s’en mettent plein les poches.
VIDÉO
1 – Aurélien
Barrau
VIDÉO
2
– Les Amours
Mais
bon, on peut toujours se consoler en se rappelant que sans le
"
vivant
",
entendez
sans
le végétal et l’animal "
la
planète poursuivra sa route sur le plan de l’elliptique
en attendant le
moment ultime de
son
anéantissement par le
soleil.
Construire
ensemble la
société, ce
n’est pas vivre ensemble –
aimer
tout le monde, c’est n’aimer personne.
Le
vivre ensemble ai-je
très souvent rappelé,
c'est la loi du plus fort, dans la jungle les animaux vivent ensemble
– les
fables d’Ésope et de La Fontaine sont là fabuleusement
universelles
pour nous le rappeler.
Donc
construire ensemble la société suppose que les convictions intimes
de chacun (
notamment religieuses
)
soit écartées de l'action politique, sinon
le lion ne laissera
rien derrière lui si la loi n‘est pas là pour l’empêcher ou
le retenir – c’est la fonction première de l’État de Droit.
Seraient
mieux
représentées
à l’Assemblée Nationale les
populations de chacune des régions de notre pays
en
déposant
« notre
»
actuelle république jacobine,
laquelle
au
fil du temps ne
sait plus respecter
la parole populaire ni faire respecter
la laïcité sur
l’ensemble de nos territoires.
À
la place, il conviendrait de constituer une
république
girondine laïque respectueuse
de la loi de 1905
*1,
soucieuse
de
l’égalité entre femmes et entre femmes et hommes.-
- - 1.
#RespectezLaLoiDe1905
CRAB
SUITE
Réponse à Clarisse
RépondreSupprimerLe féminisme islamique est un oxymore, au même titre que les féminismes à deux neurones, lesquels sont aux antipodes du féminisme universel.
.
En finir avec les pudibonds ou les féministes à deux neurones, soit les victimistes, les racialistes ou de l’intersectionnalité, c’est en finir avec dieu, sinon c’est en finir avec les obscurantistes.