mardi 14 octobre 2014

Algérie : Témoignage


Sans compter les sourates sexistes : 63 % des sourates du raciste et sexiste coran sont des incitations à la haine de l'autre
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À l'heure ou le corrompu et anti-laïque Erdogan « islamiste bon teint », espère voir les kurdes se faire massacrer, ailleurs, quelque part dans le monde :
Publié dans '' Courrier international '' : ALGÉRIE Femme, ta place est à la maison
A l’heure où la nuit tombe, une jeune femme se fait harceler dans les rues et dans le métro à Alger. Témoignage
Après 20 heures, une femme peut-elle circuler tranquillement dans les rues de la capitale sans se faire importuner, sans être mal vue, sans ressentir tous les regards malveillants peser sur elle ? Pour avoir vécu l’expérience, je crois que la réponse est non. Se balader seule à Alger la nuit, sans être escortée par un “mâle”, est une épreuve douloureuse.
Je parle en connaissance de cause parce qu’il y a de cela trois jours j’ai pris le métro à la station Haï El-Badr pour descendre à la Grande Poste, où je devais rencontrer ma cousine, chez qui je m’apprêtais à passer la nuit [Haï El-Badr-Tafourah (Grande Poste), ligne 1, mise en service le 1er novembre 2011 et comprenant dix stations ; des extensions sont prévues, mais pour le moment c’est la seule section qui soit exploitée]. Je m’étais habillée de façon très correcte : robe ample de couleur beige, assortie d’un gilet qui couvrait mes bras et d’une écharpe, cheveux noués, gloss très discret sur les lèvres, à peine maquillée.

" Tu n’as pas peur de te balader toute seule à cette heure ? "
Mais il suffit d’être une femme pour que les hommes remarquent votre présence et vous harcèlent. A la station Haï El-Badr, je prends mon ticket et file précipitamment pour ne pas rater le métro, qui se trouve déjà à quai. Peine perdue, je n’ai pas été suffisamment rapide. Contrainte d’attendre à la station, je remarque que je suis seule. Il n’est pourtant que 19 h 45. A ce moment-là, je vois un jeune homme portant l’uniforme de policier.
Arrivé à mon niveau, il me lance, sans aucune hésitation :
“ Tu n’as pas peur de te balader toute seule à cette heure ? Fais attention, tu risques de te faire agresser.” “ Ah bon, et vous faites quoi entre-temps, vous qui êtes censé assurer ma protection ?” réponds-je ironiquement. “Ben, je ne peux pas me porter garant des autres. On est en Algérie et une femme seule à cette heure, c’est très mal vu et risqué ”, réplique-t-il.
Je rétorque :
“ Pardon, monsieur, je ne savais pas qu’on était en Inde ou en Egypte, où les femmes peuvent être violées en plein jour. Je croyais qu’à Alger on était plus en sécurité.” 
Je me sens mise à nu
Le jeune homme décide alors de me rassurer, mais il n’hésite pas à me demander mon numéro de téléphone, me trouvant assez jolie fille. Le métro arrive, je m’installe et là je constate qu’il n’y a absolument aucune femme. Les deux seules représentantes de la gent féminine, qui sont montées à la station Amirouche, sont escortées par un homme, tandis que moi je suis seule. Lorsque j’arrive à El-Hamma, un groupe de jeunes adolescents se met à me harceler. Même si ces jeunes ne m’ont pas agressée physiquement (Dieu merci !), leurs regards malveillants en disaient long.
Je me sens mise à nu par leurs regards indiscrets, accusateurs, harceleurs, culpabilisants. Au moment où je m’apprête à descendre, un homme d’âge mûr, qui m’a dragué tout au long du trajet, me dit que je n’ai rien à faire dehors à cette heure et que ma place est à la maison. Oui, bien sûr, dans la mentalité algérienne, une femme doit rester enfermée à la maison pour préparer la popote et s’occuper des enfants.

Ils ont cru que j’étais une catin
Le métro arrive enfin à destination et je descends pour me rendre à la Grande Poste. Là, deux hommes m’interpellent et me demandent combien je prends pour offrir mes services. C’en est trop. Je suis rouge de colère, mais je ne peux pas riposter.
Ils ont cru que j’étais une catin à la recherche de clients. Voilà donc comment on perçoit une femme en Algérie juste parce qu’elle se trouve dans la rue après 20 heures. Un autre homme plus loin me demande de ne pas avoir peur, car il a bien vu que je flippais à l’idée de marcher sur le même trottoir que lui. De quelle égalité parle-t-on quand on n’a même pas le droit de sortir se balader dehors ?
De quelle égalité parle-t-on quand une femme est considérée comme une p… juste parce qu’elle est sortie dans la rue le soir, sans être accompagnée par un homme ? Une chose est sûre, la femme n’est pas la bienvenue dans l’espace public en Algérie la nuit.
Nourhane S.
Publié le 22 septembre 2014 dans Algérie-Focus Alger

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Edwy Plenel auteur de '' pour les musulmans '', «  étonnement » précise que son livre aurait pu s'appeler '' Pour les juifs '', à ceci près que dans notre pays c'est une majorité parmi les musulmans qui stigmatisent nos compatriotes juifs dont beaucoup ne sentent plus en sécurité et quittent de plus en plus nombreux notre pays
Curieusement cet antiraciste à géométrie variable déclare relaté par AFP ( daté du 16 septembre dernier ): « Je ne défends pas ceux qui trahissent leur religion en commettant des crimes, je défends nos compatriotes qui n’y sont pour rien et qui sont en même temps stigmatisés ou oubliés », confie l’essayiste. Tout en rêvant d’un retour à la « laïcité originelle » inscrite dans la loi de 1905 qui, « loin d’une crispation face à l’affirmation des cultes minoritaires, signifiait leur reconnaissance »
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Oui monsieur Edwy Plenel : il y a bien un problème de l'islam en France
Non seulement monsieur Edwy Plenel, ne rêvez pas : vous n'êtes pas Émile Zola ni qualifié pour porter en titre de votre livre '' Pour les juifs '', jusqu'à preuve du contraire, ce ne sont pas « vilains français de souches » qui agressent nos compatriotes juifs dans les rues de nos villes ;
vous ne pouvez pas non plus prétendre écrire '' Pour la France '' quand le raciste et sexiste coran ou encore le port des phallocrates voiles islamiques, sans rapports avec une quelconque croyance dans le surnaturel, vous laissent indifférent [ vous ] mais pas, en tous cas, nos compatriotes démocrates femmes et hommes épris de liberté ;
la laïcité «  originelle » n'ouvre pas la porte à l'incitation à la haine de l'autre ( le non-musulman ), n'autorise pas, que je sache, l'inégalité femme-homme au nom de la religion que vous masquer derrière la « jolie expression » : « défense d'un culte minoritaire »
Vaine tentative de votre part de tenter de faire accroire cette idée que les françaises et les français laïcs ne savent pas faire la différence en une croyance en un '' dieu '' et une philosophie ( coran et ses annexes ) sociétale-politique infantile, égoïste, raciste et sexiste, jugez-en par vous-mêmes :
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/41-les-diktats-musulmans/
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Ce que veulent pas « les vilains français dits de souches », ni parmi eux les femmes et hommes arabes ou iraniens incroyants, ( plus de 75 % de la population ), c'est que la France ne devienne ni ne ressemble de près ou de loin à l'Algérie ou à n'importe quelle autre pays musulman
Les françaises et les français ont parfaitement jugés de la nature des textes « sacrés musulmans » racistes et sexistes, sans comparaisons possibles, ( c'est un athée qui vous le dit ), dépassent tout ce que, en cette matière, l'on peut lire dans les autres monothéismes ;
monsieur Edwy Plenel, que cela vous plaise ou non , vos gesticulation n'y changeront rien, il faudra vous y faire ! - - - Crab - 14 Octobre 2014
Suites :
http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2014/10/03/lettre-a-edwy-plenel-suite-5460510.html



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La poésie dit l'essentiel avant que la philosophie ne s'en mêle, et dans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais qu'un seul créateur, le poète, ainsi qu’un unique miracle, la musique.
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Athée libertaire et non athée chrétien, amoureux des arts et plus particulièrement de l'Opéra.
Prioritairement engagé pour combattre l'antisémitisme et participer au débat public afin de réunir les conditions d'un changement ouvrant la voie à une démocratie avancée. En remplaçant le système politique actuel jacobin ou monarchique par une république girondine.
Claude Bouvard

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