Pour en finir avec la maladie d’illusions
Quand, parmi-nous, certains possédés-dépossédés, dépourvus de ce qui est essentiel dans notre monde en tant qu’il est joie et volonté de puissance ne songent ou persistent à nier toute affirmation éperdue de la vie, [ aussi ], à l’instar de Nietzsche, souvent il me prend à penser qu’il faudrait de toute urgence araser les églises [ j’ajoute - et les mosquées ] pour, au même emplacement, réaliser de grands théâtres des humanités
Les très riches heures de la musique et de ses interprètes
La
seule trilogie idiomatique
qui va moralement si bien à l’entendement, puisqu’il est couru
et advenu que tout le reste n’est que dérapages bruyants,
tapageurs, visible débâcle sans obstacle, bâti de
productions-exhibitions sans nuance que je n’ose qualifier de
lyrique prospérant sans une once de raison au cœur d’un
gigantesque chaos généré par bon nombre d’idiots utiles ayant
perdu depuis longtemps [ déjà ] le sens de ce qui fait réellement
les riches heures de la culture occidentale ou plus particulièrement
la richesse de notre langue maternelle car « il faut bien se
dépêcher en prenant appui sur les politiques publiques de
l’éducation de finir par couper toutes les têtes bien faites qui
dépassent »
*1. au passage, le saviez-vous... langue ou musique est un nom féminin, ça fais mauvais genre...n’est-ce pas ?
Vidéo – Raquel Camarinha
Sinon, ouvrir la vidéo en cliquant sur le lien de redirection :
http://blvids.free.fr/Raquel_Camarinha-2019.mp4
Suite - Alondra de la Parra - Maestra
http://laicite-moderne.blogspot.com/2019/02/alondra-de-la-parra-maestra.html
Suite 2 - Civilisations
https://laicite-moderne.blogspot.com/2018/09/civilisations.html
Suite
4 – L’écriture
inclusive
L'être humain est la nature et en même temps une petite partie de la nature. La poésie dit l'essentiel avant que la philosophie ne s'en mêle.
RépondreSupprimerDans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais qu'un seul créateur, le poète, et un seul miracle, la musique.
Nous ne sommes pas de '' passage '' sur terre, mais un temps sur terre, on n'a une deuxième vie quand on n'a compris qu'on n'en qu'une puisque la mort est absence de sensation.
Nos ancêtres gallo-romains avaient le sens de l’honneur, la question qu’ils n’auraient pas manquer de poser urbi et orbi : Pourquoi un cadavre n’a jamais donné de conférence de presse ni ne s’est jamais plaint de l’autopsie ?