À la recherche du temps où
les dieux de la Grèce demandaient à Rome l’asile politique.
Les
romains en fins politiques adoptaient tous les dieux grecs qui
franchissaient leurs frontières – cependant au regard de
l’histoire de l’écart ou
des rapports entre les idées et la
pratique leur inclination pour Dionysos
était sans équivoque... sans égale.
«
Le pudor féminin »
liée au corps et à la sexualité.
Il
était une fois une princesse danoise que même Ovide,
c’est pas peu dire, n’aurait pas reniée, laquelle en grande
romaine affirma avec honneur son identité de femme devant un
parterre de puissants du monde musulman grand corps malade que
caractérise la peur du sexuel dans la société dont, plus
spécialement, la sexualité des femmes, alors qu’inspirées par
les « bonnes matrones d’un autre âge » les « féministes » du
gouvernement suédois fidèles à la règle platonicienne ou
aristotélicienne s’étant, avant leur départ contentées de faire
de la rhétorique sur le féminisme pour, en définitive, dans le
concret, en Iran, sans mettre réellement en question les rapports du
vrai et du faux grâce à une pratique grossière de la
vraisemblance, sans pudeur s’illustraient islamisées devant de
vulgaires mollahs qui n’attendaient que ça.
Morale
: Admirées, adorées des féministes anglo-saxonnes, des
victimistes du genre Caroline De Haas*1
et Consorts ( pas tous les jours ), en ce qui concerne ces
dominas suédoises, « le pudor féminin » ne serait bon que
pour une partie de la gent féminine. Voilà, ne dirait-on pas, une
bien curieuse afféterie de métamorphoser le féminisme universel en
l’exécrable caricature d’un « féminisme » digne de la plus
déshonorante intersectionnalité. CRAB
.
*1
- Caroline De Haas «
grande féministe
» devant Allah,
est une spécialiste de
l’élargissement des trottoirs urbains dans les quartiers dominés
par des musulmans.
Suite
: Éphémère
Suite
2 : Les
idiots utiles de l’islamisation
Voltaire considérait que l'athéisme était bon pour l'aristocratie, mais pas pour le peuple, étonnant,non !
RépondreSupprimerMode islamique est un oxymore.
RépondreSupprimerToute ma vie, j'ai vu des femmes vêtues d'un short et d'un débardeur. Il n'y a que d'ignobles crétins pour s'en plaindre.
Plus on encourage la femme à se cacher, plus ça attise la curiosité un peu malsaine de certains parmi les garçons. En première ligne, les toxiques barbus.
Chez-nous la coquetterie a pour habitude de narguer les canons religieux, pas de s’y conformer. En France, mode islamique est un oxymore
Supprimer.
La mini-jupe parle d’échange informulé, de désir inassouvi, le voile culpabilise le désir.
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RépondreSupprimerL'enfoulardement des fillettes, c'est de la maltraitance intellectuelle des enfants.
On ne peux pas défendre des femmes enfoulardées ni accoutrées d’un burkini quand on sait qu'elles voilent leurs fillettes.
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D’autre part, citation :
«Ces femmes voilées à qui on interdit d’étudier, travailler, de s’amuser, accompagner même leurs gamins dans les sorties scolaires etc.» Zakia Meziani
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Comble de la duplicité, ces femmes n’accompagnent pas leurs enfants, mais une classe. Dans le cadre des sorties pédagogique de l'école, selon le DROIT (nous sommes dans État de droit ) elles ne sont pas des usagers mais des accompagnatrices exécutantes du service public.
À l'attention de Francesca N....n - C’était devenu rare une parole publique intelligente d’autant qu’il n’y aura jamais l’égalité femmes-hommes sans réaliser un féminisme libertin, suite :
RépondreSupprimerhttps://laicite-moderne.blogspot.com/2016/03/realiser-un-feminisme-libertin_16.html
Sans peur et sans reproche nous irons tous au Paradis d’Allah – la preuve, Changelejeu en revient et nous raconte son épopée:
RépondreSupprimerhttps://laicite-moderne.blogspot.com/2017/08/le-paradis-dallah.html
Il serait bon de rappeler l’histoire du niqab ou burqa (voile intégrale) à celles qui le portent, peut-être qu’en connaissance de cause elles se vêtiront-elles autrement.
RépondreSupprimerDans la mythologie de la Mésopotamie (l'actuel Irak), le niqab ou burqa est porté par les femmes qui veulent honorer la déesse le l'amour public, Astarté ou Ashtart.
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Celle-ci, pour être bien honorée par les femmes, oblige celles-ci à se prostituer une fois l'an, dans les bois sacrés qui entourant son temple.
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Pour ne pas être reconnues quand elles allaient s'offrir à des inconnus de passage, les femmes de la haute société mésopotamienne prirent l'habitude des se voiler totalement.
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Celles qui pratiquent, aujourd’hui, le «jihad nikah» (prostitution sacrée), en Syrie et ailleurs, en se couvrant de la tête au pied, ne font en réalité que ressusciter une tradition bien antérieure à l’islam, et qui n’a rien à voir avec cette religion.
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Mustapha Kamel Atatürk, premier président de la Turquie de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour que les femmes turques abandonnent la burqa, en décrétant une loi avec un effet immédiat, qui stipule ceci: «Toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent. Toutefois, les prostitués doivent porter la buqa.»
Béchir Turk