dimanche 19 novembre 2023

LA PERVERSION DE LA CITÉ

Point de démocratie sans identité, sans maîtriser la langue de sa patrie, donc ni sans homogénéité culturelle , ni sans le pouvoir de décision souverain de la majorité du peuple ni sans des dirigeants au service du peuple ni sans rechercher ce qui est juste.


LA PERVERSION DE LA CITÉ

commence quand la racaille anti-police, anti-France ou anti-juifs soutenue par les islamo-gauchistes de LFI perverti les mots en se rassemblant pour la « mémoire d’un délinquant » au lieu de manifester pour cette femme * de 61 ans rouée de coups de poings dans le ventre devant sa porte, il y a huit jours, dans la ville de Roubaix par trois pervers ni des humains ni des animaux – aucun animal n’agit par sadisme ni par lâcheté..

* - son fils connu sur les plateaux de télévisions pour ses positions contre l’inquisition musulmane et l’anti-sionisme.

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RAPPEL

Le policier ne s’est pas levé un matin en se disant ‘’ aujourd’hui, je vais tuer un délinquant ‘.

Claude Bouvard

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SUITES CUVILISATIONS

https://laicite-moderne.blogspot.com/2018/09/civilisations.html


3 commentaires:

  1. Il y a femme et femme
    Gérard Biard · Mis en ligne le 22 novembre 2023 · Paru dans l'édition 1635 du 22 novembre

    Ce samedi 25 novembre, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, des marches et des manifestations auront lieu dans toute la France. Ce jour-là, comme chaque année depuis 1999, l’ONU invitera l’ensemble des nations à s’élever contre toutes les violences que subissent toutes les femmes. Toutes ? Pas tout à fait. Sans même prendre en compte les pays et les régimes qui se foutent éperdument de ces simagrées d’Occidentaux efféminés, force est de constater que, dans les faits, il est des violences qui indignent moins que d’autres et des catégories de femmes jugées négligeables par beaucoup de militantes et de militants pourtant dûment « éveillés ».

    C’est le cas par exemple des femmes iraniennes qui s’opposent au péril de leur sécurité et, souvent, de leur vie, à la dictature religieuse des mollahs. Les associations féministes qui les soutiennent et leur rendent hommage se voient attaquées par d’autres collectifs autoproclamés « inclusifs », et accusées de promouvoir un « féminisme libéral, islamophobe et transphobe » – pour reprendre les termes d’une tribune publiée en septembre dernier sur Mediapart. Les femmes afghanes ne sont pas mieux traitées. Sans doute sont-elles vues, elles aussi, comme de vilaines ingrates envers leurs saints tuteurs talibans, qui, certes, ont des manières un peu frustes, les emprisonnent à domicile et leur interdisent tout accès à la santé et à l’éducation, mais les ont quand même libérées de l’oppression américano-occidentale.
    Une défense à géométrie et géographie variables

    Tout récemment, on a pu également constater que si l’on est une femme juive, vivant dans un kibboutz en Israël, et que l’on est victime de viols collectifs et d’actes de barbarie de la part de terroristes islamistes enragés – ou d’audacieux résistants selon l’AFP –, c’est qu’on l’a un peu cherché. Quant aux images attestant de ces crimes odieux, filmés par les assassins eux-mêmes, elles déclenchent de charmants débats d’esthètes sur la pertinence d’adhérer ou non à la propagande de Tsahal… Le « je te crois » de principe adressé aux victimes de viol depuis l’ouragan #MeToo semble ici oublié par celles et ceux qui, d’ordinaire, en sont les plus fervents partisans.

    Il faut se rendre à l’évidence, 25 novembre ou pas, la défense des droits des femmes et la dénonciation des violences qu’elles subissent sont désormais, pour beaucoup, à géométrie et géographie variables. D’ailleurs, samedi prochain, à Paris, ce sont au moins deux cortèges antagonistes qui s’élanceront, sur deux itinéraires différents, en prenant soin de ne pas se croiser, et encore moins de se mélanger. Le premier, composé d’associations universalistes, laïques et abolitionnistes ; le second, à l’appel du collectif #NousToutes, composé de groupes « intersectionnels » qui assaisonnent le féminisme de tous les adjectifs destinés à le vider de son sens, de pèlerins du hijab, de défenseurs du droit des hommes à acheter des « services » sexuels et de prosélytes de la « transidentité ».
    À LIRE AUSSI : « C’est une négation des luttes féministes » : les collectifs lesbiens au défi du transactivisme

    Il reste à savoir si, comme c’est de plus en plus le cas dans les rassemblements féministes, nous verrons des pelotons de ces « femmes transidentifiées » dotées de clitoris à deux boules s’en prendre physiquement à des militantes accusées de « transphobie », au prétexte qu’elles osent dire qu’une prostate n’est pas un utérus, ou à des lesbiennes qui préfèrent… les femmes. Le féminisme a toujours été multiple. Il a toujours compté des mouvements plus ou moins radicaux, plus ou moins réformistes. Mais c’est la première fois de son histoire que cette « diversité » profite, d’abord, à des hommes…

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  2. Associer l'armée et la police est une très bonne chose qu'il faut développer partout pour défendre notre pays des ennemis de l'intérieur - plus particulièrement les fréristes et leurs collabos de la Nupès.

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  3. Si les députés de LFI et consorts avait le sens de l’honneur il iraient s(installer dans un pays qui leur ressemble - à Gaza par exemple... Que savent-ils de la France ou des français ?

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La poésie dit l'essentiel avant que la philosophie ne s'en mêle, et dans toute l'histoire de la vie spirituelle de l'humanité il n'y a jamais qu'un seul créateur, le poète, ainsi qu’un unique miracle, la musique.
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Athée libertaire et non athée chrétien, amoureux des arts et plus particulièrement de l'Opéra.
Prioritairement engagé pour combattre l'antisémitisme et participer au débat public afin de réunir les conditions d'un changement ouvrant la voie à une démocratie avancée. En remplaçant le système politique actuel jacobin ou monarchique par une république girondine.
Claude Bouvard

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