Les
matins calmes
Au
commencement ce fut
l’épidémie ou une
pandémie, dès
le début
chacun
des observateurs a
pu observer ce monde amer de la santé sous-servitudes d’un mode
pensée obsolète ;
une
aubaine-alibi où
se
sont engouffrés la plupart des politiques au pouvoir, puisque tomber
au
champ d’honneur, tel
est en politique
le destin des carriéristes ;
voilà,
et puis comme si le nombre faisait qualité vînt le temps des
autodafés qui a vu quelques philosophes, quelques journalistes bien
connus de radio et d’ailleurs qui s’empressèrent de se caler, de
se calibrer pour se retrouver dans l’Éther où s’agite, en
voie
de désintégration forcenée,
submergé par
les émotions
le
luminescent, voire
l’éblouissant petit blaireau Cohn-Bendit
;
tous
décide-la, cahin-caha, tous vent debout, tous plus empressés les
uns que les autres à lyncher les rares chercheurs ou médecins dont
le professeur Didier Raoult un personnage d’un humanisme gaulois et
romain dans sa praxis [ c’est grave docteur ? ], ce qui aux
yeux de bon nombre de carabins aux longs becs pointus avait le tort
par sa manière d’être de n’être ni platonicien ni
aristotélicien ;
de
se fier et s’appuyer non-pas sur des idées ou de fantasmagoriques
protocoles, ni sur des vaccins ou des sérums jamais venus, mais
exclusivement sur l’expérimentation ciselée, au fil des temps –
assurément
l’expérience du praticien au regard de sa patientèle pour que
l’inquisition générée par la pensée ronronnante des entre-soi
somnambuliques
d’arrière-cour
lui tombe dessus à bras raccourci
-
il s’en est
moqué, bien lui en a pris.
CRAB
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À l’attention de Claire L....
RépondreSupprimerEric Chambrières, biochimiste à l’IUH Méditerranée-Infection, avait déclaré le 12 juin dernier, courbes boursières à l’appui: « si l’hydroxychoroquine est toxique, c’est pour la spéculation! ».
PATRICK COHEN ET LES SIENS
RépondreSupprimer…, il faut reconnaître, [ .../...], que l’âme se dissipe et se disperse à l’extérieur du corps, c’est à dire qu’elle meurt.
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http://laicite-moderne.blogspot.com/2020/07/patrick-cohen-et-les-siens.html