Fausse
note – Le Procureur de
la République avait engagé des
poursuites contre Mila avant d’y renoncer.
.
La
Justice
dans
sa partition a-t-elle fait
preuve d’un manque de doigté ?
Abdallah
Zekri, le délégué général du Conseil français du culte musulman
(CFCM), lequel avec un immense talent de poète de
l’universel
avait
proclamé sur Sud-Radio: «
Qui sème le vent récolte la tempête. »
.
Lequel
morbide
spécimen
ne
se prive pas d’ajouter
dans
un galimatias
mortifère-sanguinaire
digne
des meilleures écoles coraniques :
«
Elle l’a cherché, elle assume.»
.
Cette
remarque, traduite
dans la noble langue,
émanant
d’un représentant d’une religion de paix et d’amour, membre du
CFCM, reconnu, anobli
devrais-je écrire, ce
qui est un comble, par les pouvoirs publics républicains - bref,
la
classe...
.
Citation,
(
Extrait de
Paris-ment )
:
Autrement
dit quelque chose qui ressemble à ceci : «
Elle aura fait ce qu’il fallait pour se faire égorger et si la
chose devait arriver, je ne m’en formaliserais pas! »
...
Je
parie sans trop risquer de me tromper que cet homme ne sera pas
poursuivi, lui,
pour
incitation à la haine ou pour provocation au crime.
.
Or,
elle dit tout haut et dans un langage vert ( mais pas le vert bobo…)
ce que beaucoup pensent tout bas: «
Se pourrait-il que cesse enfin en France cette complaisance pour une
religion qui, son Livre le dit, n’aime ni les homosexuels, ni les
juifs, ni les femmes, ni les autres croyants?
» Elle
n’aurait pas du le dire ainsi? Entendu. Mais aurait-elle pu le dire
autrement? Sûrement pas. Si elle n’avait pas eu recours à la
langue de Charlie, mais à celle de Jean d’Ormesson pour dire la
même chose, elle aurait certes été moins visible, mais tout de
même attaquée.
Michel
Onfray
.
Le
temps des Méduses
Lors
de
la plupart des débats radios ou télévisions, je n’ai pas entendu
les sempiternels péroreurs de l’info, hormis
essentiellement de discutailler sans relâche sur le vert langage de
Mila - oublieux
empressés
que
la plus grave des insultes formulée à l’égard de Mila et envers
l’ensemble de nos compatriotes quelques
soient leurs origines
" putain
de française
",
auquel il convient ici
de rappeler le silence assourdissant d’une
complaisance inouïe non
seulement à
l’égard de la plus perverse ou
de
la plus toxique
des religions du monothéisme sans
avant
tout tenir
compte des bouffées de délires des plus malsaines
toutes
formulées
sur la place publique par
ses représentants autoproclamés
- propos
que
ne dénoncent jamais
les
association représentatives des droits de l’homme, antiracistes,
ni
jamais
les
très riches heures
des
très sombres
féministes à deux neurones de la veine nécrosée associant
la
lunaire Osez
le féminisme aux
méduses
racialisés et
de l’intersectionnalité, lesquelles
se sont bien gardées
d’exiger
du
Procureur la
poursuite de ce mortifère-sanguinaire,
sinon
à
minima
de se porter partie civile pour obtenir sa condamnation.
.
Code
de l’infamie
L'islam
ou
le texte du coran, sorte de code civil et
politique des plus
arriérés
daté
du
7e
siècle,
n'offre
pas un mode de vie humanisé,
mais au
contraire
une modalité d'existence perverse et mortifère dépourvue
de toute urbanité.
.
L’inquisition
musulmane
Quitte
à me répéter, on ne mettra pas fin à l’inquisition musulmane ni
au fanatisme d’un petit noyau de chrétiens à
la dérive
sans
enseigner à l’école en contrepartie du
fait religieux le fait athée ni sans abroger le regroupement
familial dont se servent abondamment les islamistes pour faire
entrer, dans notre pays, [
aussi ] souvent
par
le biais du mariage
les plus croyants d’entre-eux issus
pour beaucoup moins
des villes que
du bled
*1
dans
l’objectif de
maintenir ou développer toujours plus largement
le
fanatisme islamique.
*1
–
par exemple les femmes nées en France dans les milieux musulmans,
sans
parler
des
athées, sont nettement moins manipulables, voire
pour
certaines pas
du tout
ou pour
d’autres de
ne
pas hésiter à
prendre
quelques bonnes
distances avec la religion.
.
Le
chant de l’oppresseur
La
tolérance ou la neutralité favorise toujours l’oppresseur -
effets de la méconnaissance de : la dignité des êtres humains,
l’égalité fondamentale de tous les êtres humains, l’universalité
des droits de l’homme, la liberté fondamentale de pensée ou
de
conscience.
.
Toujours
se souvenir qu’il n’y a pas d’islam de France, mais de l’islam
en France.
.
Faut-il
rester sans rien faire ?
Amine
El Khatmi
a entièrement raison quand il propose de placer sous tutelle de
l’État " les territoires perdus de la République " -
j’ajoute
à
condition dans
le même temps de
réaliser
ce que curieusement ne préconise pas l’observatoire de la laïcité,
plutôt, devrai-je dire, ce que ne préconise
non-pas
l’observatoire mais l’abattoir de la laïcité et de la liberté
d'expression, c’est à dire de
rétablir la laïcité, par exemple
:
SUITES
Les
deux Commères de la République
.
Quand
on lit des versets du coran, lesquels sacralisent le viol conjugal et
le droit de cuissage sur les femmes esclaves, même dans les
religions chrétiennes, lesquelles
ne sont pas spécialement des références de
bienveillances on
ne trouve
pas à lire
de telles horreurs.
.
Si
le dieu mahométan était si puissant, puisqu’il
s’adresse exclusivement à l’homme,
il
aurait dû
commencer
par lui
dire
que l’esclavage et
la traite des esclaves
est un crime contre l’humanité
au lieu de planifier le mariage sur
exclusivement
la soumission et toutes
les obligations
de
l’épouse
dont
entre-autres
la
disponibilité sexuelle en toutes circonstances, auquel
il faut ajouter
le bonus
d’un droit
de cuissage sur « ses » femmes esclaves.
.
Le
01 06 2010, je publiais '' les diktats musulmans '', cette
publication sera
d’actualité aussi
longtemps
que ce
livre
(
le plus nocifs des textes après Mein kampf
) ne
sera pas
jeter
dans
les poubelles de l’histoire arabe.
.
Les
diktats musulmans ou la sacralisation du patriarcat,
Le 01 06 2010, je publiais ''
les
diktats musulmans
'',
cette publication demeure d’actualité
.
Changelejeu
et Mahomet - Réédition
À l'attention de G - C'est normal qu'une jeune femme saine d'esprit se révolte à la lecture du coran.
RépondreSupprimerIslam, religion des opprimés ?
RépondreSupprimerPour moi, c’est une sorte de racisme, que je qualifierais de profond. Ceux qui se positionnent ainsi pensent que les musulmans ne peuvent pas accepter les valeurs modernes, ils pensent qu’ils sont stupides. Et ils les cantonnent dans cette position d’éternelles victimes que beaucoup de musulmans utilisent. Les musulmans ne sont pas des victimes, les musulmans sont des citoyens comme les autres qui doivent accepter les règles du jeu de notre société.
Waleed Al-Husseini
.
« L’islam est une religion violente, misogyne et liberticide » Majid Oukacha
.
Déjà au XIIe siècle, le malicieux Renart dévorait son confesseur(1). Qu’attend Ségolène Royal pour déplorer un « manque de respect » ? Sous la plume de François Rabelais, Gargantua dégustait des pèlerins en salade à Notre-Dame au XVIème siècle. « Le cœur serré, je pense au temps où Panurge ne fera plus rire », a écrit Milan Kundera plus récemment. Ce temps est-il venu ?
RAPPEL :Les exhibitionnistes du voile
RépondreSupprimerGérard Biard · le 27 avril 2016
•
Exclu Web
A rrêtons de tourner autour du voile. Arrêtons, surtout, de le voir pour ce qu’il n’est vraiment pas – un instrument d’émancipation – ou ce qu’il n’est plus qu’accessoirement – l’expression innocente d’une croyance religieuse. Imaginons un instant que des étudiants de Sciences Po organisent, au sein de leur école, une journée de distribution d’hosties consacrées, au prétexte que c’est vegan et sans gluten, ou bien un « Kippa Day », parce que ça filtre bien les UV quand on a une calvitie naissante… Personne ne serait dupe de la supercherie et on parlerait sans détour de prosélytisme religieux. En revanche, on peut organiser une « journée du hijab », en affirmant que c’est féministe, fun et ouvert sur le monde, sans se faire traiter d’escroc propagandiste ou de collabo. On peut appeler sur Facebook à « essayer la décence », sans que cela émeuve plus que ça la direction de Sciences Po, et sans que quiconque s’alarme du niveau zéro de l’argumentaire – il faut « démystifier le tissu [car] il y a autant de voiles que de femmes »… – dans une école censée former des journalistes, des chercheurs, des analystes politiques…
Aucun de ces futurs « experts », si soucieux d’expérimenter ce que ressent une femme qui porte le hijab en France, ne semble a contrario préoccupé par ce que vivent les femmes qui refusent de le porter en Iran, en Arabie saoudite, en Afghanistan ou même dans certains quartiers d’Europe. Pourtant, elles sont des millions à travers le monde, qui vivent sous la menace permanente de se voir insulter, frapper, enfermer, torturer, si elles n’acceptent pas la « pudeur » et la « décence » que des religieux totalitaires veulent leur imposer. Quand il n’y a qu’une femme, qu’un voile et qu’une façon de le porter, les Robins des bois de la liberté et de la tolérance sont muets. L’analyse qu’ils font du monde s’arrête sur le pas de leur porte. Sans qu’ils prennent d’ailleurs davantage conscience de la nature du monstre idéologique qui s’essuie les pieds sur leur paillasson.
Le voile islamique est un drapeau.
SUITE:
RépondreSupprimerCe n’est pas un hasard si, dans les pays musulmans, c’est à sa longueur que l’on peut mesurer le degré d’obscurantisme du régime en place. Ce n’est pas un hasard si son port obligatoire fut la première des mesures prises par les mollahs iraniens arrivés au pouvoir en 1979 – on peut à ce sujet entendre, sur le site http://fr.ulule.com.neda-film/, des propos édifiants de Bani Sadr, premier président de la République islamique d’Iran : « La science a prouvé que dans les cheveux des femmes il y a des ondes qui excitent les hommes. Pour prévenir cette excitation, le Dieu miséricordieux veut que les femmes se voilent. » Ce n’est pas un hasard si le Grand Turc Erdogan veut en étendre un peu plus chaque jour le port.
Dans les pays où l’islam politique est au pouvoir, le voile est imposé par la force. Ailleurs, c’est la stratégie du fait accompli qui est à l’oeuvre : on installe un état de fait à force de pressions intellectuelles plus ou moins insidieuses – le chantage à l’« islamophobie » –, de relativisme et d’impostures – c’est une mode, c’est un droit, c’est féministe, c’est antiraciste –, on prospère sur les lâchetés et les compromissions. En attendant le moment où il sera vu comme une évidence sociétale, une « habitude »… Et le reste suivra. Le happening religieux de Sciences Po ne vient pas de nulle part. Le 1 er février dernier était proclamé « journée mondiale du hijab » – à déguster, si l’on aime les poils de barbe dans la soupe sémantique, sur worldhijabday.com – et en 2008, déjà, l’institut de la mode de l’université Lyon II organisait un colloque intitulé « Les voiles dévoilés : pudeur, foi, élégance »…
Le hijab est l’outil idéal pour installer la confusion entre islamisme et islam. Il prétend définir une « identité » et permet ainsi de dire que si l’on attaque l’idéologie politique, on attaque tous les musulmans. Tout comme le keffieh est le symbole militant de la cause palestinienne, le hijab est le symbole militant de l’islam politique. Avec une différence notable : si le premier en appelle à l’émancipation d’un peuple, le second est une injonction à la soumission.
Affaire Mila
RépondreSupprimerhttp://crab.painter.free.fr/textes/2.%20Affaire_Mila_E_Badinter.pdf
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